Voilà bien une fête dont je me tamponne à vitesse grand V! Pas de justification pour ça, uniquement, je n'en ai vraiment rien à faire. Pourrai vous parler du coté mercantile, tout est bon pour faire du pognon (regardez les traders et leurs citrouilles en or), voir le coté un peu morbido-joyeux de cet événement, et bien non, décidément je ne me sens pas concerné, ni en bien, ni en mal! Alors, vous direz vous, pourquoi il nous casse les pieds avec halloween? Ce soir, on a sonné à ma porte et 2 adorables bambins sont venus m'effrayer pour m'estorquer des rires et des tonnes de bonbons! J'ai craqué, ils sont adorables et ils jouaient le jeu à fond; me suis dit qu'une part de gentillesse, de bonne humeur et une innocence non encore ravagée par les affres de notre société et bien, c'est que du bonheur! C'est frais, sincére, touchant, j'ai craqué je vous dit! z'ont été déçus ses petits démons craquants, j'avais rien à leur offrir (what a shame); j'ai rapidement improvisé, voulais pas rompre le charme, et leur ai dit de passer demain à 11h00 pour obtenir ces sucreries amplement méritées. Ceci se passait à 18h00, il est 21h00, j'en suis au sixième passage et 15 halloweeniens déchainés. Le plus rigolo, c'est que le dernier groupe bonbonphage a sonné, m'a fait hurler de peur et puis, avant que j'ai le temps d'en placer une, m'a dit : "On sait, on doit venir demain à 11h00!" Le siècle de la communication accélérée a encore frappé. Demain à la première heure, je dévalise le rayon confiserie à Leclerc, c'est juré!